to the magic of the moment on a glory night. (carter)

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(carter joshua ethan maddox)
Tout finit toujours bien. Si ça ne va pas, c'est que ce n'est pas la fin.

★★★

nom complet ›Maddox, une famille influente, une famille riche, une famille dans laquelle tout a l'air foutrement parfait. Un nom de famille qui inspire le respect dans toute la ville. Carter, le prénom de son grand-père paternel, un prénom qu'il n'affectionne pas particulièrement, mais qu'il est fier de porter. Joshua et Ethan, deux prénoms bibliques, parce que oui, ses parents sont croyants. âge, date et lieu de naissance › Du haut de ses vingt-sept ans, il voudrait pouvoir affirmer qu'il en a un peu moins. Il est né un 25 juillet, en plein été, à Glenoak, juste avant sa soeur jumelle Beth. origines et nationalité › Parce qu'il est né ici, Carter a la nationalité américaine. Cependant, il a des origines australiennes et norvégiennes, un joli mélange qu'il se plaît à rappeler. job, études et statut financier › Il aurait pu faire pas mal de choses, pourtant, son choix s'est arrêté sur l'armée de l'air. Il est pilote de chasse. Ça ne rapporte pas tant que ça, mais n'oublions que c'est un Maddox. Il possède donc un capital très important. Statut financier ? Très aisé. statut civil › Célibataire, Carter a toujours plus ou moins enchaîné les relations d'une nuit. Il se prétend souvent coureur de jupons irréformable ; mais la réalité est toute autre. Il aimerait bien la trouver, sa perle rare. statut familial › Chanceux, il a hérité de deux parents profondément aimants et leur ayant inculqué des valeurs. Seul garçon de sa fratrie, il a une grande soeur, une soeur jumelle et une petite soeur, avec lesquelles il entretient une relation bien différente. religion › Ayant été élevé dans la religion catholique, il a été baptisé bébé, a eu un parrain et une marraine et a même fait partie de la chorale. Mais ça l'ennuyait ferme. Il parlait fort, il s'agitait, il se faisait ramasser. Il a vite appris à inventer des excuses pour échapper à tout ça, même s'il a dû faire sa communion. Non, le catholicisme, ce n'est définitivement pas pour lui. Il se tourne plutôt vers la philosophie. traits de caractère › Modeste, charmant, sociable, déterminé, aventurier, protecteur, jaloux, borné, cultivé, curieux, honnête, perfectionniste, aimable, bordélique, affectueux, parfois naïf, charmeur, courageux, exigeant, persévérant, patient, généreux, sévère, passionné, entier, gourmand, joyeux. groupe › Say a little prayer. avatar › Daniel Sharman.

Quel est votre plus beau souvenir en compagnie de gens que vous aimez? Un seul souvenir, c’est compliqué à choisir. J’ai passé beaucoup d’excellents moments avec ma famille. Mais je peux peut-être citer des vacances qu’on a passées en Australie, alors que je venais d’avoir seize ans. On est allés sur la Gold Coast en plein été et c’était quasiment le paradis sur la terre, le retour aux origines. J’attrapais une planche de surf le matin, même si je suis loin d’être un professionnel. Le soir, on faisait des barbecues sur la plage. On n’allait même pas à l’église, alors c’était le pied ! Je compte plus le nombre de fois où on a fait des belles balades avec mes frangines. Le bon vieux temps.
En quoi ou qui croyez vous? C’est assez difficile à dire. Je crois en une certaine puissance supérieure à nous, mais pas comme mes parents. J’ai même parfois essayé de prier, mais quand je suis entré dans l’armée, j’en ai pris un sacré coup… Peut-être que s’il existe un Dieu quelque part, il a fini par en avoir assez de nous et de nos bêtises. J’avoue être assez perdu dans ce domaine. Je voudrais croire que l’être humain est capable d’améliorer les choses, mais je ne pense plus que ce soit possible, notamment parce qu’il existe trop de barbarie. La philosophie, d’une certaine manière, peut-être qu’elle peut nous aider individuellement à progresser.
Quelles sont les valeurs les plus importantes pour vous? La famille, déjà. Même si je ne le montre pas assez, je tiens énormément à mes parents et à mes soeurs. L’amitié, ensuite. Il peut être difficile de trouver de vrais amis ; mais quand c’est le cas, il faut faire des efforts pour les garder. Le partage, parce qu’il n’y a que ça de vrai. Le courage, parce que sinon, je ne pourrais jamais partir en mission. Le pardon, parce que sinon, dans la vie, on n’avance pas.
Avez-vous un souhait pour l'avenir? Un monde meilleur ? J’étais idéaliste, mais c’était avant. Du coup, je ne sais pas trop. Si, j’aimerais que ma relation avec ma soeur jumelle redevienne comme avant. Comment ? C’est une autre histoire. Mais je le voudrais vraiment. Et je voudrais bien trouver LA fille, mon idéal, celle qui deviendra ma moitié, mon tout. Je n’en parle pas parce que ça fait vachement ringard pour un prétendu Don Juan, mais ça n’en demeure pas moins vrai. Un jour, peut-être.

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1. Ça ne se voit pas forcément au premier abord, parce qu’il aime rigoler et plaisanter à propos de tout et de rien, mais c’est quelqu’un de très intelligent. Il s’intéresse à plein de choses, de la philosophie à l’histoire, en passant par la géopolitique et l’astrophysique. 2. C’est le seul garçon de sa fratrie. Ses soeurs, il y tient comme à la prunelle de ses yeux, même s’il ne l’exprime pas forcément comme il le devrait. Si on leur fait du mal, il oublie qu’il est pour la paix. Il donnerait sa vie pour elles, sans la moindre hésitation. 3. C’est sans doute son sang australien qui parle, son sport préféré est le rugby. Il en pratique depuis qu’il est petit, en club. D’ailleurs, il manque rarement un match des Wallabies. 4. Il a des goûts musicaux parfois étonnants pour son âge, de Scorpions à Bon Jovi en passant par Dire Straits, les Rolling Stones, Queen, The Police, Europe, Toto ou encore Eagles. 5. Il n’a aucun sens de l’esthétique. Il a toujours besoin des conseils vestimentaires de ses soeurs. 6. Sa relation avec sa soeur jumelle est tendue. Pourtant, il l’aime. Très fort. Il faudrait juste qu’il apprenne à le lui montrer. 7. Il aime les animaux. Il n’est peut-être pas assez responsable pour en adopter un, mais il ne manque jamais une occasion de caresser une boule de poils. 8. S’il est triste, mettez-le devant The Big Bang Theory. C’est sa série préférée et il va rire à gorge déployée. 9. Il a des notions d’espagnol et de français, de quoi tenir une conversation courante, mais sans plus. 10. Il achète systématiquement les produits de la gamme Apple. Le dernier cri, s’il vous plaît. 11. C’est un véritable estomac sur pattes, mais il ne prend jamais de poids, ce qui fait régulièrement râler les filles de son entourage. De temps à autre, il s’essaye à la cuisine, mais il n’est pas très doué. 12. Il aime les livres. Les vrais, pas du numérique. 13. Il ne boit jamais de café. 14. Il déplore souvent son absence de talent artistique. Il joue un peu de guitare, c’est tout. Rien d’exceptionnel. 15. Depuis sa plus tendre enfance, il est passionné par les avions. D’ailleurs, il a longtemps hésité entre une formation classique et l’armée de l’air. Mais il veut défendre les intérêts de son pays et il suit les traces de son cher grand-père, militaire à la retraite. Un jour, peut-être qu’il se réo-rientera, parce que ses proches s’inquiètent pour lui quand il part. 16. Dans son métier, on trouvera rarement plus consciencieux, plus concentré et plus discipliné que lui. Il s’entraîne dur et éprouve un véritable respect pour l’autorité. 17. Il ne l’avouera sûrement jamais à haute voix, mais il rêve de trouver la fille qui lui donnera envie de changer et de se poser. Jusqu’ici, il s’est montré incapable de se rendre compte qu’elle était juste sous ses yeux. 18. Il l’exprime rarement, mais dans le cadre de son travail, il a vu des horreurs qu’il n’oubliera probablement jamais.

pseudo, prénom › h, miss choco. âge, pays › vingt-deux ans, polynésie française. votre avis sur le forum › coeur:

type de personnage › scénario de shirley et beth courir:

autre ›

★ whishing on a whishing star

Le quotidien de l’armée. L’entraînement militaire, le tir, le parachutisme. Se maintenir en parfaite condition physique et mentale. Rester concentré pendant plusieurs heures d’affilée. Préparer les missions au sol (étude de l’environnement aéronautique, définition des tactiques de combat, briefing de mission). Exécuter les missions aériennes à proprement parler en escadron de chasse (combat, dissuasion, interception, reconnaissance). Et après le vol, en tirer tous les enseignements nécessaires. C’était ça, son travail. L’horreur de la guerre, qu’elle soit directe ou pas. L’Ukraine, la Syrie, l’Irak. Vu les actualités, ce n’était pas près de s’arrêter. Il ne risquait pas de se retrouver au chômage dans les années qui suivaient. Parfois, dans les plus mauvais jours, quand il était amené à faire des choses qu’il regrettait profondément, quand il était confronté à des situations qui le marqueraient à vie, il aurait voulu pouvoir revenir en arrière pour changer de décision et s’engager dans l’aviation civile. Un jour, peut-être. Et d’autres fois, comme quand il s’était trouvé au bon endroit au bon moment et qu’il avait sauvé un enfant d’une mine anti-personnelle, il était fier de ce qu’il faisait, fier d’avoir suivi les traces de son grand-père dont, petit garçon, il buvait les récits alors qu’il était assis sur ses genoux, fier de défendre son pays et de faire de bonnes actions en-dehors de ça.

Mais ce jour-là, ce genre de préoccupation était bien loin de lui. Il rentrait à la maison. Enfin. Il était parti depuis beaucoup trop longtemps. D’abord, pour une mission de plusieurs mois en Ukraine. Ensuite, il était revenu sur le territoire américain, mais à Washington DC, où il avait suivi une autre formation (ou plutôt une sorte de mise à jour) dans l’une des bases aériennes les plus importantes du pays - il avait d’ailleurs eu l’occasion de voir sa petite soeur à plusieurs reprises, ainsi que le reste de sa famille qui s’était déplacée exprès pour venir le voir. Enfin, il avait été envoyé avec une flopée de collègues en Syrie, où les événements risquaient bientôt de s’aggraver. Mais pour le moment, il ne voulait presque pas s’en soucier. Il avait enfin eu la permission de rentrer chez lui pour quelques mois. Il avait été mis à contribution plus que d’habitude et méritait donc le repos. Enfin, repos… Les entraînements continuaient, bien évidemment, dans la base la plus proche. Mais au moins, il serait chez lui. Au moins, il pourrait profiter de ses parents et de ses soeurs. Peut-être même renouer avec Beth, comme avant… Il se faisait peut-être des illusions, mais il espérait que ça se passe ainsi. Il pourrait revoir ses potes d’enfance ou encore Shirley, la sublime meilleure amie de sa soeur jumelle. Oui, le pilote de chasse était de retour à la maison.

C’était lui qui pilotait l’avion destiné à ramener une partie des troupes en Californie. Il atterrit dans la vallée d’Antelope, à l’Edwards Air Force Base, au nord de Los Angeles. Chez eux. Ils étaient chez eux. Fatigués, mais heureux. Après avoir fait les vérifications habituelles, il s’extirpa enfin de son siège et, en sortant de l’avion, il eut l’impression d’être de retour à la vie réelle. Dans la base, ça fourmillait. Les militaires et les hauts gradés ne s’arrêtaient pas. Mais lui, il s’en fichait. Tout ce qu’il avait à faire, pour le moment, c’était voir un supérieur pour un débriefing. Une fois que ce fut fait, il put s’en aller. Maintenant, en-dehors de son travail quotidien (à la March Air Reserve Base), il risquait seulement de repartir si jamais un avion non identifié apparaissait sur les radars et qu’il était choisi pour piloter un drone (en reconnaissance et, bien évidemment, si nécessaire, pour l’attaquer). En-dehors ça, côté missions, il était tranquille. Poussant un soupir de soulagement, le jeune homme sortit enfin sous le soleil californien. Sa famille était là, dehors. Il ne s’attendait pas à les voir ici, notamment parce que ça faisait une bonne trotte depuis Glenoak. Tout simplement ébahi, il resta bouche bée pendant quelques secondes, avant que sa mère n’atterrisse dans ses bras, en larmes. Sa famille. Et bientôt, sa ville et sa maison. Il fallait qu’il laisse ce qu’il avait vécu de côté pour pouvoir se dire que la vie était belle.